«  Le fer procure, par son toucher, une blessure à l’âme, mais bientôt le souffle chaud créateur viendra caresser la matière encore inerte.

Alors le métal se rendra sans drame, cette tristesse apparente ne dévoile qu’un bouleversement intérieur, celui d’une vie offerte... »

                                                                                   

Stéphanie GOISBAULT